Pourquoi diable s’échiner à prendre des pompes en photo, je vous le demande ? Peut-être parce que les chaussures des festivaliers sont au Hellfest ce que les visages sont aux westerns de Sergio Leone. Cuits par le soleil, rongés par la sueur, l’alcool et la poussière. Toute une histoire en un clin d’œil.
Et puis aussi, pour paraphraser F. Mauriac, parce que : « Dis-moi ce que tu chausses et je te dirais qui tu es. »